Parfois, quand je faisais l’amour, j’avais l’impression que ma tête était restée au bureau. J’étais remplie de barrières et je me sentais coupable de tout. Coupable d’éprouver du plaisir, ou de ne pas en avoir… Coupable de ne pas savoir si j’avais le goût de faire l’amour. C’était compliqué. Voilà qu’avec ces entrevues, je réalisais qu’il me fallait moi aussi prendre le temps de reconnaître mes blessures et de soigner mon féminin.
(·)