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Contes d’Irlande

Mike Burns raconte dans une langue truculente mêlant le français, l’argot anglais et le gaélique des contes à propos de rois, de fées, de chevaliers et de merveilleux issus de la plus pure tradition orale celtique.

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Mike Burns est un géant qui raconte dans une langue poétique où se mêlent le français, l’argot anglais et le gaélique. Ses contes sont issus de la plus pure tradition orale celtique. « La main sur le front, l’autre sous l’aisselle, Mike Burns taille le conte comme Saor le maçon taille la pierre, aussi bien. Avec lui, le vent des landes et le respir de la baie pénètrent en la maison, et habillent le silence des autres, aux yeux rivés sur ses paupières closes. Tout ouïe au galop des chevaux, des ruades de torrents, des colères déchaînées de forêts séculaires, des noces de neuf jours aux tréteaux lourds « de nua gacha bi agus sean gacha di », de la bouffe la plus fraîche et la boisson la plus vieille. » – Christian-Marie Pons. Tiré de la préface de « Raconte-moi que tu as vu l’Irlande »

SKU: N/A
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Texte

Mike Burns

Collection

Paroles

ISBN-Papier

978-2-924174-34-0

ISBN-PDF

978-2-924174-35-7

ISBN-ePub

978-2-924174-36-4

ISBN-Audio

978-2-925139-18-8

Âge
Format(s) du livre

, ,

Nombre de pages

93

Dimensions

5,875 x 7"

Date de publication

octobre 2014

Mike Burns

— Auteur «Dans la province de Munster, dans le comté de Kerry, dans la baronnie d’Iveragh, dans la paroisse de Cahirciveen — là même où l’Irlande, de ses quatre doigts tendus, donne la main à l’océan depuis toujours —, on a vu naître Mike Burns. Mike conte régulièrement depuis l’âge de dix-sept ans; il voisine la cinquantaine aujourd’hui. Il connaît plus de contes qu’il n’y a de jours en l’année, ou de minutes en un jour… allez savoir, les yeux fermés, on ne voit pas le temps passer. Ses contes, il les tient de son père Conny et de Nell, sa grand-mère; ses contes, il les tient d’Irlande. Et même quand il les dit en français, c'est la langue de Gaël qu’on entend, avec le vent des fils d’Oïchin, le sel des mers celtes, l'âcre noir de la tourbe, l’or liquide des orges vieillies et cette ampleur du temps où les dieux se mêlent aux hommes.»